Nazarena France

ASSOCIATION NAZARENA - FRANCE
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COMPTE-RENDU DE L'ASSEMBLEE GENERALE DE NAZARENA-FRANCE
en vidéoconférence 11 septembre 2021

L’Assemblée Générale Ordinaire de Nazarena-France s’est tenue en vidéoconférence le samedi 11 septembre 2021 de 15h30 à 17h309 membres connectés, 13 pouvoirs, 2 bulletins de vote soit 24 votants La présidente remercie les adhérents de notre association qui ont rejoint cette vidéoconférence et Pierre Chazan qui en assure la coordination. Dera Haidaraly président d’honneur de notre association et directeur du CFPANA nous adresse ses salutations et ses souhaits pour une assemblée générale animée et profitable

.1 - Rapport moral de la présidente – Evolution de nos activités en 2021

L’année qui devait être la troisième et dernière de notre programme de développement triennal
du Centre de Formation Professionnelle Agricole Nazarena à Aboalimena (CFPANA) a été une année de transition vers une plus grande autonomie du centre – au demeurant obligatoire en raison de la pandémie – et la politique de « malgachisation » destinée à préparer l’effacement de Nazarena-France après plus de 15 ans de présence, en application des décisions que nous avons prises en 2019.

La prolongation de la crise sanitaire nous a amenés à demander à l’Agence Micro Projet un
report de l’échéance de notre convention. En revanche le projet « Créer une maison des femmes dans le Centre de Formation Professionnelle Agricole Nazarena d’Aboalimena (CFPANA) » soutenu par la Région Occitanie a été clôturé fin décembre 2020. Le bilan de l’effort fourni grâce à l’appui de la région Occitanie est largement positif.

La générosité de Chantal Pruvost, décédée en 2020 et qui avait fait de Nazarena-France son
légataire universel engage notre association dans une nouvelle voie, celle de concevoir un
« grand projet » de forage-irrigation au bénéfice des habitants de la Commune Rurale
d’Aboalimena. Ce projet fait l’objet du point 2 de notre ordre du jour.Bilan de l’année 2020
Notre programme de constructions est achevé, un budget non négligeable a cependant été
consacré à la maintenance des bâtiments. Le bâtiment 2 dont la toiture avait été refaite avait
subi des dégâts dus au cyclone Belna et a été réparé. Le pavillon attenant à la partie du bâtiment 3 affecté à la « Maison des femmes » est terminé et opérationnel. Le système d’irrigation au goutte à goutte des cultures maraîchères a été installé en complément du système de pompage réalisé en 2019.

En matière d’enseignement, 11 élèves ont bien été recrutés pour l’année 2019-2020 et sont
toujours présents en 2021, mais nous n’avons pas pu savoir quel était leur niveau à l’entrée ni
si des examens ont pu être réalisés. Le jeune enseignant diplômé d’une école d’agriculture
privée régionale recruté fin 2019 n’est finalement pas resté et ce n’est qu’en novembre 2020
qu’un couple d’enseignants a été recruté, l’un et l’autre titulaires d’une « Licence en
Agronomie » qui les qualifie comme techniciens supérieurs en agriculture. Nous recherchons
toujours un enseignant pour le français et un formateur pour l’informatique, de façon à avoir
une équipe renforcée garantissant au CFPANA une reconnaissance régionale en matière de
formation initiale et continue. Nous sommes décidés à avancer sur deux domaines de formation, d’abord l’informatique, avec l’extension du parc, une nouvelle installation d’électricité photovoltaïque et un serveur de contenus pédagogiques, ensuite les pépinières, pour accompagner le reboisement de la commune auquel participe le CFPANA et créer un
arboretum.

La ferme-école semble stabilisée avec des productions en hausse et un fonctionnement
autonome et plus serein que par le passé. La récolte d’arachides, poursuivie année après année
pendant 4 ans sur une surface d’un ha, contribue aux ressources propres du CFPANA de façon non négligeable mais le compte d’exploitation reste tout juste équilibré malgré un rendement acceptable de 1 tonne/ha. Les cultures maraîchères assurent un revenu journalier aux exploitants de petites parcelles. Le petit élevage de volailles et de porcs ainsi que l’apiculture étaient difficiles à gérer en l’absence d’un responsable compétent et n’ont pas généré de revenus en 2020. Le résultat médiocre de cette activité d’élevage demande un effort de clarification qui a été lancé en 2021.

Un « Rapport Agronomique » a été rédigé par le CFPANA en 2021. Il ouvre des perspectives intéressantes :
Vente de 5 porcs engraissés et rachat de porcs de race « large white » pour améliorer le
cheptel, doublement du nombre des poulets malgré les pertes dues à la grippe aviaireiIntroduction d’un élevage de canard pour lequel des bâtiments d’élevage sont à prévoir,étude de l’alimentation animale et de la production de provende, développement des cultures maraîchères, premières récoltes de piments sur de petites parcelles, enfin production d’arachides et de maïs dans les baiboho

En conclusion, l’isolement dans lequel s’est trouvé le CFPANA en 2021 du fait de la situation
de pandémie aura eu le mérite de nous permettre d’évaluer en vraie grandeur les capacités
d’autonomie de la structure. Cette autonomie et la pérennisation du centre semblent acquises
en ce qui concerne les activités dites de « ferme-école », en revanche des inquiétudes persistent
quant au fonctionnement du CFPANA en tant qu’établissement d’enseignement.

    • Nous prévoyons une mission à Madagascar si possible en 2021.
    • Celle-ci aurait deux principaux objectifs :
      Refaire un bilan agronomique et un examen détaillé de notre offre de formation de façon
      à orienter durablement l’activité du CFPANA et à conforter son autonomie.
      Lancer avec l’aide d’un agronome en mission et d’un expert senior l’étude du « grand
      projet » forage/irrigation que les nouveaux fonds dédiés nous permettront de réaliser.
      Au cours de cette même mission seront entamées les démarches destinées à sécuriser les terres
      prévues pour l’irrigation en lien avec les services des domaines du District de Belo/Tsiribihina
    • Avant de conclure, la présidente salue la mémoire de Razy Pandjou décédé brutalement à Belo
      en 2021. Au-delà de ce que sa disparition représente pour la ville de Belo et toute la région, elle
      est pour le CFPANA et pour Dera Haidaraly, qui a été son grand partenaire et ami une grande
      perte. Il aura la lourde tâche de poursuivre sans lui notre idée partagée du développement local
    • Le rapport moral est soumis à la discussion et fait l’objet d’un vote.
    • Les principales questions abordées sont les suivantes :
      Comment parvenir à l’équilibre du compte d’exploitation de la ferme-école ?
      Comment pallier les difficultés de recrutement des enseignants ? comment améliorer
      les conditions de travail et l’attractivité de la commune ?
      Le rapport moral est approuvé à l’unanimité des adhérents présents et représentés
      .
     
 

2- Etat de notre projet de forage irrigation – Partenariat avec Experts-
Solidaires- Mission 2021-2022

  • Jean Bernard Chazan rappelle le contexte de ce projet, désormais intitulé : « Exploitation des
    nappes profondes pour cultiver les terres de la Commune Rurale d’Aboalimena ». Alors qu’il
    4
    n’y a plus de cultures de riz à proximité du village, les agriculteurs ont cultivé
    préférentiellement des terres de hatsake (terre obtenue par abattis brûlis) prises sur la forêt vers
    l’est et le sud. A Aboalimena, durant la période de soudure la nourriture est rare et la perte des
    troupeaux ne permet plus de vendre des boeufs pour attendre la prochaine récolte. Des projets
    de barrage ou de forage avaient été proposés par les responsables politiques au cours des années
    passées sans jamais être concrétisés L’idée de forage est ressurgie en 2019, car elle était moins
    susceptible de provoquer des conflits fonciers et nous n’y avons prêté attention que lorsque le
    legs reçu de Madame Pruvost nous a fourni la possibilité d’y répondre de façon concrète.
    Notre association n’ayant pas de compétence dans le domaine eau/irrigation, nous avons
    recherché un partenaire, Experts-Solidaires que nous avons trouvé grâce au réseau régional Oc-
    Coopération.
    Mélanie Ramnuth, chargée de projets, a présenté l’association Experts-Solidaires : cette
    association Loi 1901 est basée à Montpellier. Elle a pour mission d’appuyer des projets d’aide
    au développement auprès des communautés les plus vulnérables dans les domaines de l’accès
    à l’eau et à l’assainissement, le développement de l’agriculture et la lutte contre la malnutrition,
    l’accès à l’énergie et la protection de l’environnement. Les « Experts Solidaires» du réseau sont
    des bénévoles spécialistes dans leur domaine, expérimentés et prêts à investir de leur temps
    dans un projet. Le principe est d’attacher un expert à chaque projet mené en collaboration.
    Experts-Solidaires travaille déjà à Madagascar et a mené avec succès plusieurs projets de
    forage-adduction-d’eau-assainissement, dont certains dans la région de Tuléar dont les
    conditions géo-climatiques sont proches de celles du Menabe. L’association Experts-Solidaires
    pourra également chercher des financements complémentaires auprès de bailleurs de fonds
    quand notre projet le nécessitera.
    Philippe Ospital, agronome de formation, spécialiste de l’irrigation avec de nombreuses
    années d’expérience dans la mise en oeuvre de projet à l’international, est l’expert qui sera
    attaché à notre programme. Il confirme son intention de se rendre sur place dans le cadre d’une
    mission courte en liaison avec Suzanne Chazan (en tant que spécialiste de la société locale) afin
    de connaître le terrain, en appréhender les aspects socio-économiques et prévenir le risque de
    conflits liés à l’eau et de manière générale récolter les informations qu’il estime nécessaire à
    son suivi technique du projet. L’étude agronomique doit permettre d’identifier à quel type de
    culture cette irrigation serait destinée.
    La première étape que nous proposons de lancer dès cette année si cela est possible, ou dès la
    fin de la saison des pluies en 2022 sera une phase d’étude approfondie qui permettra d’obtenir
    l’ensemble des informations nécessaires à la rédaction d’un document-projet complet tenant
    compte des éléments sociaux, techniques et économiques.
    Cette phase d’études comprend :
    1. La réalisation d’une étude des pratiques agricoles : un stagiaire ou un volontaire
    agronome de formation sera recruté pour une mission d’environ 6 mois ( idéalement dès
    le mois d’octobre prochain, sinon en 2022). Il effectuera les enquêtes et les observations
    de terrains nécessaires à la bonne compréhension du contexte du projet, des attentes des
    populations, les caractéristiques hydrauliques et agricoles de la zone et au ciblage des
    activités les plus pertinentes à mettre en place afin d’atteindre l’objectif global du projet.
    2. Une étude des ressources hydrauliques pour laquelle un bureau d’étude local sera
    recruté àMadagascar sur la base d’un appel d’offres. Il sera chargé de l’analyse des
    eaux de surface et des nappes, de leur cartographie et de l’analyse des écoulements en
    période de crues.
    3. La mission de l’Expert Solidaire en charge du dossier , Philippe Ospital. Il appréciera
    la faisabilité du projet, participera aux réunions de concertation avec les autorités locales
    et précisera la mission du volontaire et celle du bureau d’études.
    4. L’ Analyse des résultats - rédaction du document d’Avant-Projet-Sommaire et budgétisation
    du projet
    Le budget de l’opération dans cette première phase est présenté. Il inclut les coûts de
    personnels affectés au projet par Experts-Solidaires, le recrutement d’un stagiaire et d’un
    bureau d’études, et la logistique du projet, notamment les voyages et frais de missions. Le
    budget prévu pour cette première phase, en totalité à la charge de Nazarena-France, est de
    l’ordre de 20 000 €. Il sera mis à jour avant le lancement de l’action sur la base des devis et
    coûts prévisibles.
    Le planning est d’engager la phase d’études dès 2021 avec la mission à Madagascar et la
    mission du bureau d’études en hydrologie. En cas d’impossibilité de retarder le lancement à la
    fin de la saison des pluies en avril 2022
    La réalisation d’un premier système d’irrigation
    Il sera attendu de la première phase d’études une analyse des stratégies possibles pour
    permettre l’irrigation des terres de la commune d’Aboalimena. De façon précise, elle devra
    identifier le ou les sites possibles pour un premier forage et définir quel espace pourrait être
    ainsi irrigué. Ainsi, la seconde phase du projet consistera en l’aménagement d’un module de
    plusieurs hectares autour d’un forage ou d’un autre système d’exploitation durable de l’eau,
    sa mise en production et la mise en place de formations des agriculteurs usagers de ce système
    d’irrigation.
    Le principe du projet de forage-irrigation et le lancement de la première phase d’étude sont
    soumis à la discussion et font l’objet d’un vote.
    Les principales questions abordées sont les suivantes :
    La question du planning des opérations compte tenu d’une conjoncture peu favorable
    La question de la pérennité du projet liée à celle de notre association
    La recherche de bailleurs de fonds institutionnels
    Le lancement de la première phase est approuvé à l’unanimité des adhérents présents et
    représentés.

 

3- Situation patrimoniale de Nazarena-France - Examen des comptes de
l’année 2020 - budget de l’année 2021

La situation financière de Nazarena-France est restée satisfaisante. La trésorerie est très élevée
parce que les dépenses de l’année 2021 ont été limitées et que nous avons encaissé en fonds
dédiés le montant de l’assurance-vie constituée à notre intention par Chantal Pruvost. Le projet
« Créer une maison des femmes dans le Centre de Formation Professionnelle Agricole
Nazarena d’Aboalimena (CFPANA) » soutenu par la Région Occitanie a été clôturé au 31
décembre 2020 et le solde de la subvention de 3 000 € a été versé en 2021. Le programme
triennal, « Jeunes Agriculteurs du Menabe » devait se terminer le 30 septembre 2020, nous
avons demandé son report et on peut anticiper que le budget total de 34 722 € sera atteint à la
fin de cet exercice.
Les cotisations reçues en 2020 se montent à 4 485 €, en baisse sensible par rapport à
2019 et seuls 10 de nos membres ont cotisé en 2021 pour un montant global de 2 950 €. Je dois
rappeler ici que les fonds dédiés seront consacrés à notre grand projet et ne viendront pas
abonder les dépenses ordinaires de Nazarena-France et du CFPANA qui restent tributaires de
nos cotisations.
Notre association est maintenant propriétaire d’un bien immobilier et les fonds issus de
la succession devraient abonder son patrimoine en sorte que nous devrons réglementairement
nommer un commissaire aux comptes dès l’exercice 2021. Cette nomination fait l’objet du point
4 de notre ordre du jour.

Présentation des Comptes de l’exercice 2020
Les comptes annuels ont été arrêtés conformément aux dispositions du règlement 2018-06 du
5 décembre 2018 de l'Autorité des Normes Comptables. Ce changement de méthode comptable
concerne la présentation des comptes du bilan et du compte de résultat.
En 2020 comme en 2019, les dépenses relatives aux constructions sont essentiellement des
opérations de maintenance. Les dépenses prise en charge par les bénévoles sont des dépenses
de prestations et de petit matériel et il n’y a pas eu de mission à Madagascar.
Pour les dépenses du CFPANA le poste le plus important est celui des salaires et indemnités

Nous avons imputé au programme JAM un montant de 5 843 €. Ce montant ne doit pas être
rapporté aux seules subventions, mais aux ressources totales engagées dans le projet JAM, soit
un budget global de près de 35 000€.

Au chapitre des recettes figurent :
La vente de la récolte d’arachides, dont le bénéfice d’exploitation est resté
modeste.
Les abandons de frais par les bénévoles désormais comptabilisés comme « ressources
liées à la générosité du public »
Le montant de l’assurance-vie perçue, compensée en charges par un « report
de fonds dédiés » d’un même montant
Les cotisations de l’exercice
Il n’y a pas d’utilisation de fonds dédiés puisque nous n’avons pas lancé notre grand
projet
Le résultat de l’exercice est un « excédent de ressources » de 159 € inscrit au bilan qui confirme
une trésorerie élevée qui inclut les fonds perçus au titre de l’assurance vie. Ces derniers sont
inscrits en « fonds dédiés »
Une caisse en espèces à Madagascar résulte de la vente des arachides.
Vérification
Nos comptesNos comptes ont été soumis à l’expertise de Carole Senelis, commissaire aux comptes. Cette vérification n’entre pas dans le cadre d’une obligation légale. Elle est effectuée à titre amical
pour fournir à notre association un avis indépendant sur la tenue des comptes et sur la situation
financière de Nazarena-France.

Décision de l’Assemblée Générale
L’assemblée générale statue quant à l’approbation des comptes de l’exercice 2020 et au quitus
donné à la présidente et au trésorier de leur gestion.
Par vote à main levée à l’unanimité des participants les comptes de l’exercice 2019 sont
approuvés et quitus sont donnés à la présidente et au trésorier de leur gestion.

4- Nomination d’un Commissaire aux Comptes pour les exercices 2021 à 2026

La présidente rappelle que notre association a bénéficié depuis de nombreuses années du
contrôle amical et compétent de Carole Senelis, commissaire aux comptes à Strasbourg.
Aujourd’hui elle vous propose la nomination de CS-Audit, représentée par Carole SENELIS,
en qualité de commissaire aux comptes, pour une durée de six exercices.

L’assemblée générale statue quant à la nomination de la société de commissaire aux comptes
CS audit pour les exercices 2021 à 2026.
Par vote à main levée à l’unanimité des participants la résolution est approuvée.


5- Renouvellement du Conseil d’Administration de Nazarena-France -

l’association est dirigée par un Conseil d’Administration de six membres
élus pour 3 ans et rééligibles
La présidente indique que les membres sortants ont accepté de se représenter mais qu’à sa
demande, Julie Peghini, vice-présidente, ne se porte pas candidate en 2021 si un candidat plus
disponible peut se présenter.
En conséquence, sont candidats :
1) Suzanne Chazan, présidente sortante
2) Jean Bernard Chazan, trésorier sortant
3) Pierre Chazan
4) Anne Laure Mekki, secrétaire sortante
5) Bruno Gilbert Royet, vice-président sortant
6) Françoise Thabeault secrétaire adjointe sortante

Certains adhérents auraient souhaité un élargissement du Conseil d’Administration à des
adhérents plus jeunes et issus d’un cercle moins restreint. De manière générale la classe d’âge
de la majorité de nos adhérents et leur absence de disponibilité pénalise notre association,
alors que nous lançons un nouveau projet à Madagascar. La question de la pérennité de
l’association mérite d’être posée et diverses solutions sont examinées. Il est décidé d’améliorer
notre visibilité par une meilleure communication et de rechercher la coopération possible avec
d’autres associations travaillant à Madagascar.
A l’issue d’un vote à main levée et tenant compte des pouvoirs et des bulletins de vote reçus,
sont élus comme membres du Conseil d’administration à l’unanimité des membres présents et
représentés, Suzanne Chazan, Bruno Gilbert Royet, Jean Bernard Chazan, Anne-Laure Mekki,
Françoise Thabeault, Pierre Chazan.

6- Questions diverses
Le nouveau Conseil d’Administration se réunira à l’issue de l’assemblée générale

La présidente,

Suzanne Chazan